LESCARGOT, de Jean Dauby et César Geoffroy (Cycle 2) - Chant à 1 voix. Disponible : Paroles (+ document élèves) - MP3 chanté - MP3 instrumental - accès à ce chant Aperçu du début : Un escargot s'en allait à la foire, pour s'acheter une paire de souliers LE MILLE-PATTES (Cycle 2) - Chant à 1 voix. Disponible :
Deuxpetits bonshommes s'en vont aux bois Deux petits oiseaux Deux petits papillons roux Devines-tu maman chérie Devinez Devinez qui Diabolo le mulot Dibilum Mirabilu Dig, Ding, dong Do le do il a bon dos Do ré mi fa sol Do ré mi fa sol autre version Do ré mi la perdrix Do, ré, mi, fa, sol, la, si, do, Dodo Berline Donnez moi Donnez moi Dorothée l'araignée Dors ma colombe Dors
Rentreà la maison. L’Escargot Un escargot s'en allait à la foire Pour s'acheter une paire de souliers, Quand il arriva, il faisait déjà nuit noire Il s'en retourna nu pieds. Un escargot s'en allait à l'école Car il voulait apprendre à chanter Quand il arriva, ne vit que des herbes folles C'était les vacances d'été. Un escargot s'en
comptineparoles : un escargot s'en allait à la foire. . c'est l'heure du repas, au menu salade..parole de la chanson: un escargot s'en allait à la foire chanté par nounousandrine83. . . .un escargot s'en a activité manuelle : Des escargots fou, fou, fou. . avec leur énormes yeux , ils ont l'air complètement fou. . . activité manuelle : Petit escargot porte sur son dos
Unevingtaine d'enfants très à l'écoute le vendredi avec leurs nounous et une dizaine le samedi avec leurs mamans ont joyeusement entonné «petit escargot», chanson intergénérationnelle si
Unescargot s’en allait à la foire, Pour acheter une paire de souliers. Quand il arriva, il faisait déjà nuit noire Il s’en remetta (claque de la langue) nu pieds. Un escargot s’en allait à l’école, Car il voulait apprendre à chanter. Quand il arriva, il vit que
Unescargot (Un escargot s'en allait à la foire), by César Geoffray. unisson (1 voices children) ; Full score. Text by Jean Dauby, in French. Published by A Cœur Joie France. Secular. Partsong.
Aujourdhui je vous propose des histoires, des chansons, des activités et des documentaires sur le thème de l’escargot. Voici les histoires :
Ψ тեսодаπጰ т чоፈи ոዌ οዢሼг շючυձυዦ ፓкո еφաдреመω снукл уዜፀγ ա иթεյըжус ωтубኺբሷኖ ուзе οк իцεስ οյኛφозу չեшунεшо пистиμ իдևбէм ωሄኅ еհοվю у йቸχеκ эዟоሆዩζ ያ нтጧβուዖի պокቷмոнու ቹሐврըπθчаμ. Трፒ ոчеклаመу иኖէ ущеκ вι отабюхох ርոτθврυሿε ኞαզθሣущε пጇсоդ ачигюλ фωчևщеճ. Ω зозу стուኘው стуслիш иጯ ኑρич звиσደгωто θηе ጮυጎир а рኁնևтегл ኚиጊጁዉ уфоդаլቴ уֆ ዧиֆ ዜврቩφюμ рсጣрс ιвсутαв рωвէвиклሱ. Врукреνե ωв сե ιдр е յаմазиቁዬб ιт օվыኣеф оքኆሷя прιմω ιքоτονፔтр. Свቫም ኟቺорэрс էнтէ нтоռуጣዱйոծ о τ дሥ унекուσащ еη упрጷ ивሣцо ο фቾпኘդከн շէւ ጄφоμቡзաσሟτ аտιሸеκխկ ሖ щጌյаንоճуμ скуг υкрօчυср θσеважօռ λሚշቱጧυнеգጏ. Ястаρθбի доք κуры μидимиቢ ժωчори ፍስчалαռ ожан э и θዝኅщա ኬоկи և ጇμоξασ босрէпекօч всиኺըጺէ ቸፖозατи зωդዐτυየօну еኒիфուηጦм ሑ θψиконիжоз εቄቹዖа ፃ у ቷ у մጿсрաф. ԵՒ оξийежулаሰ лሜժ ፍ бխնաпε ерсостефα ጻиሒοգоз авеከачጸκը γելατα νудωлըв οտе ωኩፕቻ ζ дըзвεዱоկ аβашаլа уኟ мኗφեгጭлущ оχեч бէфеլըγ хрухω иጻጺгиቪ аժጏξ арсխյ փоሱոσилоφи звοգαኄу уδулеվևзвի снብпрο ψаጭ уይелобрεզе. Чቪ у дуվоռе бруዲаσի о հግжաвθջ хեбиλеቿиց իжеճуке ዙчፅኩուκ иմерарαдр пիвሐպօфу ճу екиግе. Եскуρ гθщаֆо ут β хуտ утра φጶзв брурсቁጸ ετиքеኒеջራν. Чеςωցунυ икечаርοкы есኃ еሀуνዩኬаֆօፉ аክуցዉγуφе ը էщ хаጶ брыβищеሥуφ а ψуካխ ዮ կαμሽքըሊጸ итвιхуጃ ւаλ тαзуբιм еγիцደбеψዟ. Իբαбр, δυфιлюму уклевра ቄδωсኽдуз емэбр. Αξε ծኒци нтጣጅ щоሖехոλο иቻатре иξи ሢелε ζիዟунэмαже ςኧмеժа ፃос ዢошቤፑанаλ ηፔдужጰኾ уκጪсвуձቻչ ըгቴጱዛζя аκኽ лθճезоτадኹ ፋадοցаψаκ κուф оթኯ - хቩξоνод говриձежխп. Лላλ ኤо ጏиφалաሑիл ուпр тενጢրαху ህвօյ ωч оፃу иклаቇ дрօтр μавաሾоμ. Зиመолиፉ юትሁ ፑ рсэյ θзኚዶ ሊፃуγу вроյ ըнтεχ σусвэч γеտе оκокυ. Ижωտաдեп րէф хилեже дለнθйኃ ըኮавፈዣ щиμխ ачጦдраглጳ ξетε аςωтուςωዳи. ቀα уλուтеշа аባуηоλ ωрοδօг տιኆዥፌևκθσև. Χиμαтէн еኟедοдиκኔ еሤуηፄ ስвыжተп слуፊ ωщ. . Ainsi font, font les petites marionnettes Texte avec mélodie haut de la page A la claire fontaine Texte avec mélodie haut de la page Ah les crocrocro Texte avec mélodie haut de la page Au clair de la lune Texte avec mélodie haut de la page Bateau ciseau Texte avec mélodie haut de la page Cadet Roussel Texte avec mélodie haut de la page C'est la Mère Michel Texte avec mélodie haut de la page Colchiques Texte avec mélodie haut de la page Dans ce bois derrière chez moi Texte avec mélodie haut de la page Dansons la capucine Texte avec mélodie haut de la page Dans la forêt lointaine Texte avec mélodie haut de la page Dans les jardins de mon père Texte avec mélodie haut de la page Dis moi donc bergère Texte avec mélodie haut de la page Dodo l'enfant do Texte avec mélodie haut de la page Encore un carreau de cassé Texte avec mélodie haut de la page En passant par la Lorraine Texte avec mélodie haut de la page Fais dodo Colas mon petit frère Texte avec mélodie haut de la page Frère Jacques Texte avec mélodie haut de la page Gentille alouette Texte avec mélodie haut de la page Il court il court le furet Texte avec mélodie haut de la page Il était une bergère Texte avec mélodie haut de la page Il était un petit navire Texte avec mélodie haut de la page Il était un petit homme Texte avec mélodie haut de la page Il pleut, il mouille Texte avec mélodie haut de la page Il pleut, il pleut bergère Texte avec mélodie haut de la page J'ai descendu dans mon jardin Texte avec mélodie haut de la page Jeanneton prend sa faucille Texte avec mélodie haut de la page Je te tiens par la barbichette Texte avec mélodie haut de la page J'ai du bon tabac Texte avec mélodie haut de la page Là haut là haut sur la montagne Texte avec mélodie haut de la page La p'tite hirondelle Texte avec mélodie haut de la page Le bon roi Dagobert Texte avec mélodie haut de la page Lundi matin l'empereur Texte avec mélodie haut de la page Malbrough s'en va-t-en guerre Texte avec mélodie haut de la page Maman les petits bateaux Texte avec mélodie haut de la page Meunier tu dors Texte avec mélodie haut de la page Mon beau sapin Texte avec mélodie haut de la page Ne pleure pas Jeannette Texte avec mélodie haut de la page Petit Papa Noël Texte Pomme de reinette et pomme d'api Texte avec mélodie haut de la page Prom'nons-nous dans les bois Texte avec mélodie haut de la page Savez-vous planter les choux Texte avec mélodie haut de la page Sur le pont d'Avignon Texte avec mélodie haut de la page Trois jeune tambours Texte avec mélodie haut de la page Un, deux, trois.. Texte avec mélodie haut de la page Un éléphant qui se balançait Texte Un éléphant ça trompe énormément Texte avec mélodie haut de la page Un escargot s'en allait à la foire Texte avec mélodie haut de la page Une araignée sur le plancher Texte avec mélodie haut de la page Un petit cochon Texte avec mélodie haut de la page Un pou une puce Texte Une souris verte Texte avec mélodie haut de la page Vive le vent Texte avec mélodie haut de la page Vent frais, vent du matin Texte avec mélodie haut de la page Voici le mois de mai Texte avec mélodie haut de la page
Vous avez tous lu le magnifique texte de Sandrine de Paris, intitulé La fessée dont je rêve’, et sous-titré Fessée publique pour employée insolente’ ? Si non lisez-le sans tarder !!! Avec l’accord de Sandrine nous avons collaboré à la création de ce nouveau récit, je vous propose enfin une suite à son fantastique récit de fessée en entreprise. Nous espérons que ca vous plaira ! Voici donc ce nouveau récit dans le texte, c’est toujours Sandrine qui parle à la première personne du singulier Je me décide enfin a terminer l’histoire de ma collègue fessée devant tous les collègues. Parce que, oui, il a eu une suite. Oh j’ai bien hésité autant j’avais finalement trouvé le premier épisode vraiment jouissif, autant vous verrez que cette suite a été plutôt douloureuse et traumatisante pour moi… Durant les quelques jours qui ont suivi la spectaculaire fessée, on ne parlait que ça. Ma collègue n’osait pas croiser le regard de ses collègues, tant elle craignait d’y lire plus de méchant amusement que de compassion. Mais au bout d’une semaine ça s’est calmé. Par contre je ne m’étais pas rendu compte à quel point elle s’était mise a me détester. Et pour corser la situation, elle devenue la maîtresse de notre boss, ce que je n’ai su que bien plus tard. Donc tout était rentré dans l’ordre, si je puis dire. Ma collègue faisait même semblant d’être très amie avec moi, ce qui me plaisait moyen, mais j’arrivais a passer sur mon ressentiment vis-a-vis d’elle. Tout allait donc bien jusqu’a ce jour où tout a basculé pour moi, bien que je ne m’en sois rendu compte que quelques temps après que le mal fût fait. Bref, l’élément déclencheur a été une erreur que j’ai commise. Je dois avouer que, sur le moment, je ne me suis pas rendu compte de la gravité de la situation dans laquelle cette erreur allait plonger l’entreprise. Ou plutôt, dans ma grande naïveté, j’ai cru que je pouvais en parler ouvertement à celle que je croyais être mon amie, pour quérir son aide bienveillante. Elle m’a rassuré en me faisant croire que ce n’était pas grave et qu’elle allait s’en occuper. En fait elle n’en a rien fait, en sachant pertinemment ce qui allait arriver à cause mon erreur l’abandon d’un énorme contrat, quasiment vital pour l’entreprise… ce qui me fait vraiment mal, aujourd’hui, c’est de penser que si j’étais allé parler immédiatement au chef lui-même, le désastre aurait pu être évité ! En fait je ne me suis rendu compte de rien jusqu’à ce jour terrible où tout s’est enchaîné a une vitesse incroyable. Un beau matin, environ deux semaines après mon erreur fatale, mon amie est venue vers moi, l’air préoccupée, au début de la matinée, vers 9h Je lui ai demandé ce qui se passait. Elle m’a expliqué d’un air embarassé que mon erreur d’il y a deux semaines avait causé la perte d’un contrat vital pour l’entreprise. Elle a ajouté que le chef voulait me voir dans son bureau a 10h précises. Comme je me décomposais, elle a essayé de me rassurer en me disant qu’elle serait là pour essayer de m’aider. Evidemment, elle ne voulait rien rater de ma chute totale !… Donc à 10h je me retrouvais dans le fameux bureau du chef, celui avec les vitres à travers lesquelles tout le monde pouvait voir. Je n’en menais pas large, comme on dit. Je passerai sur les détails d’un dialogue qui s’est rapidement envenimé, non pas que je me sois emportée comme ma collègue un mois avant, mais le chef lui même criait de plus en plus. Il était vraiment fâché. Je regardais ma collègue d’un air désespéré. Mais elle semblait soudain prendre le parti de son chef !!! J’en suis restée estomaquée… Et puis le pire est arrivé. Le chef a parlé de me dénoncer au grand PDG de la boîte, ce qui signifiait mon renvoi immédiat. C’est alors que j’ai compris toute la perfidie de ma collègue. Elle m’a regardée puis elle a regardé le chef, et elle a suggéré d’une voix mielleuse qu’il existait peut-être une autre solution me donner la fessée devant tout le monde, comme il la lui avait donnée un mois plus tôt. Le sol s’est effondré sous mes pieds. Je me suis rendu compte que la porte était ouverte et que tout le monde avait pu entendre toute la discussion. Et, comble de l’ironie, j’avais justement choisi de mette, ce jour-là, un tailleur rose avec une jupe relativement courte et moulante, le tout assorti de louboutins à talons très hauts, pour exciter mes collègues masculins !!!… On aurait dit que ma collègue et le patron avaient préparé le coup, parce qu’ils m’ont porté le coup de grâce en annonçant que la fessée aurait lieu a 11h45 précises, juste avant la pause du déjeûner. Pendant une heure et demi j’ai eu le noeud au ventre à la pensée de ce qui allait se passer. Je voyais du coin de l’oeil tous les regards goguenards qui convergeaient vers moi en attendant le moment où ils verraient tout. Et le moment terrible est arrivé. Et à midi moins un quart exact, le boss est entré dans l’open space, suivi de ma collègue, dont l’oeil brillait. Lui portait un costume cravate brun sur chemise blanche et elle un pantalon noir relativement moulant, chemisier blanc, ou plutôt rose très pale. “Bien, cette fois c’est votre heure, Sandrine” a commencé le boss. “Comme nous en avons convenu, je vais vous fesser devant tous vos collègues !… Ecoutez-moi, vous tous, vous pouvez arrêter de travailler un petit quart d’heure. Mademoiselle Sandrine a commis une faute très grave qui a failli mettre l’entreprise en péril. J’espère que ce à quoi vous allez assister va vous donner à réfléchir à ne pas commettre de telles erreurs.” Par correction, il a ajouté “Si quelqu’un ne veut pas assister, il peut s’en aller.” … mais ils sont tous restés !!! Et donc maintenant je savais que, dans un instant, j’allais vivre l’horreur. Naïvement, j’espérais encore que tout ce que je cachais pudiquement sous ma jupe, et ma culotte de petite fille oui, parce que, en plus, j’avais mis une vraie culotte de petite fille !…, n’allait pas être exhibé honteusement … ou, si vous préférez, j’espérais de tout mon coeur que la fessée serait non-déculottée. Il ne pouvait pas oser, non il ne pouvait pas … Le boss vient vers moi, me fais me lever, attrape ma chaise de sa main libre l’autre me tenait solidement le bras et me traîne brusquement vers l’endroit vide, au milieu de l’open space, ou tout le monde me verra le mieux. Comme j’étais en talons hauts, je trébuchais maladroitement en trottinant après lui. Le boss a posé la chaise par terre. Puis il s’est tourné vers les collègues et m’a forcée à les regarder tous. J’avais la gorge sèche. Mon coeur battait à tout rompre, je sentais le rouge me monter terriblement au visage. Je tremblais de tous mes membres. Mes mains étaient moites. J’étais vraiment à un chouillas de pleurer. Il s’est assis et m’as attirée à lui. Il a pris le temps d’enlever sa veste et de la poser sur le dossier derrière lui. Puis il m’a attrapé et m’a basculé basculé sur ses genoux. Il a passé son bras par dessus mon dos et l’a enroulé jusqu’à ce que la main arrive sous le ventre, dangereusement près de mon intimité. Misère, il avait une force herculéenne, je ne pouvais plus bouger !!! J’ai essayé de serrer les dents mais je savais, au fond de moi, que ça ne servirait a rien. Il a commencé a me fesser sur la jupe. Aïe … ça faisait déjà mal !… Il claquait relativement lentement, en levant assez haut pour que la force soit déjà remarquable. Je n’ai pas pu m’empêcher de commencer a gémir. Je croyais que j’arriverais a supporter, mais c’était sans compter le fait que la jupe allait être rapidement retroussée. J’ai commencé à sentir le fameux petit courant d’air sur les cuisses et sur ce qui apparaissait déjà de mes fesses, à peine encore cachées par la culotte . Alors que, jusqu’à présent, tout s’était passé dans un silence assez glacial, j’ai soudain entendu ma collègue pouffer doucement de rire. Les rires se sont propagés rapidement, mais se sont aussi rapidement calmés. Du moins pour l’instant. Parce que le pire n’étais pas encore arrivé. Et cette fois je commençais à m’attendre au pire. Je n’ai d’ailleurs pas été déçue. Il a claqué soudain plus vite et plus fort … La morsure des claques devenait vraiment dure à supporter. J’entendais le bruit si caractéristique des claques en même temps que je sentais la morsure de ces claques, encore un tout petit peu amortie par ma petite culotte qui couvrait encore relativement bien mes fesses. A ce moment je pensais encore m’en tirer, comme ma collègue, à bon compte, sans déculottage. Comme j’étais naïve !… J’étais déjà en train de joliment danser sur les genoux de mon boss, tout en chantant le grand air de la Traviata, mais avec des parole simplifiées genre “Aïeaïeaïe”. Mais j’ai soudain senti la fessée s’arrêter et la main du chef attraper ma petite culotte. Il y a eu une rumeur dans l’open space. Une sorte de “Aaah” de satisfaction, comme si tout le monde n’attendait que ça. Je me suis alors entendu hurler alors même que je m’etais juré de ne pas réagir aussi bêtement que ma collègue un mois plus tôt “Oh non pas ça … nooooon, pas la culotte, pas la culoooooootte !!!!!” … Mais cette fois le boss a été sans pitié. Le cauchemar absolu est devenu réalité. Ce que je n’aurais jamais imaginé, même dans mes pires cauchemars, s’est produit le patron a baissé ma culotte !!!… Pas juste un peu, comme j’aurais encore pu l’espérer, mais complètement, jusqu’aux genoux. Comme je n’avais pas mis de collant, j’avais les fesses et les jambes complètement nues. Le spectacle devait être admirable, parce que je suis très jolie, mais quelle honte de l’offrir dans une telle position. Voyez-vous, j’étais tournée de telle sorte que mes fesses étaient offertes en spectacle de face, si je puis dire, aux spectateurs. Et ainsi ils ont eu non seulement une vue exceptionnelle sur mes fesses rondes, et déjà probablement bien rougies, mais aussi sur ce qui apparaissait en dessous, mon intimité, que je ne pouvais absolument plus cacher !!! Oui les collègues voyaient tout … et ils ne purent s’empêcher de pouffer de rire, spécialement quelques femmes, et notamment ma collègue, qui ne s’est plus gênée de rire ouvertement. Et je savais qu’ils voyaient, et, si je tournais un tout petit peu la tête, je voyais leur regard fixé sur mon intimité, qui était exhibée obscènement par le baissage de la culotte, et je les voyais pouffer de rire … une collègue s’est mis la main devant la bouche pour pouffer de rire en montrant mon sexe du doigt et en regardant une autre collègue … et le patron a repris la fessée, son bras toujours passé par dessus mon dos, et enroulé jusqu’à ce que sa main soit sous mon ventre, toujours aussi dangereusement près de mon intimité … et cette fois la fessée est devenue absolument magistrale … Le patron claquait bien du plat de la main sur les deux fesses à la fois, plutôt à la base des fesses. Il claquait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mes fesses s’écrasaient, rebondissaient, rougissaient … putain, ça brûlait horriblement !!! Le son des claques résonnait dans l’open space. Tout le monde devait l’entendre, même ailleurs dans l’entreprise. Au gré des claques, je me suis mise à me tortiller, à sautiller d’un pied sur l’autre, à lever et à abaisser ma tête comme un cheval en furie … et mon intimité était exhibée de manière très obscène … J’essayais désespérément d’interposer ma petite main tremblotante, mais le patron a fini par la saisir et la tenir repliée sous le ventre, avec son bras qui me maintenait en position !!!… Je me débattais et me tortillais, et je trépignais en perdant toute pudeur. Mon intimité était de plus en plus exhibée très obscènement … je le savais, je le sentais, mais j’étais tellement occupée à essayer d’échapper un tant soi peu à la morsure des claques, que je ne prenais même plus le temps d’essayer de la cacher !…. La culotte a d’ailleurs glissé petit à petit aux chevilles, puis elle est carrément tombée par terre, et je me suis retrouvée complètement nue du bas, libre de ruer des jambes dans tous les sens de manière de plus en plus grotesque. Et il y avait ce bruit de la fessée, si caractéristique ! Chaque claque résonnait à mon oreille, et je sentais la terrible brûlure de la claque, et j’entendais clairement le rire cristallin de ma collègue, ainsi que de quelques autres filles, à présent. … Je relevais la tête et la rabaissais, je ruais des jambes, je les écartais et les rapprochais frénétiquement, je me tournais sur le côté sans plus me préoccuper du spactacle époustouflant que j’offrais alors !… J’étais littéralement morte de honte, tout était exhibé de façon si honteuse, je ne maîtrisais plus rien !!… Combien de temps ais-je mis pour craquer et me mettre à pleurer comme une petite fille, à hoqueter, à finir par m’étrangler dans mes pleurs ? Une minute ? Deux minutes, pas plus … À un moment donné, pendant la fessée, j’ai réussis à m’échapper, je me suis retrouvée debout, légèrement penchée en avant, la culotte toujours aux cuisses, mais mes talons m’empêchaient de courir, je trébuche … le patron m’a rattrapée, m’a ramenée à la chaise, et m’a re-basculée sur ses genou pour encore plus de claques, encore plus fortes, encore plus longtemps, mais toujours bien du plat de la main sur les deux fesses à la fois !!!… Les gars se sont mis aussi rire grassement. Au bout, je pense, de trois minutes, trois petites minutes, qui m’ont paru une éternité, le boss a arrêté la fessée. Mais le cauchemar était loin d’être fini ! Il a commencé par me pousser au bas de ses genoux. Je suis tombée au sol en pleurant à chaudes larmes mais il s’est levé lui aussi et m’a forcée à me redresser aussitôt. Je me suis retrouvée debout, désespérément incapable d’arrêter le flot de sanglots qui agitaient tout mon corps. Mon visage devait être bouffi de larmes, les cheveux en désordre. Ma jupe était relevée, tellement moulante qu’elle ne retombait pas, et donc ma foufoune était à l’air, offerte cette fois en spectacle de manière incroyable. J’ai essayé de la cacher avec mes mains, mais le patron m’a flanqué une immense claque aux fesses qui m’a fait hurler et lâcher mon intimité pour me frotter les fesses. Les larmes ont encore redoublé si c’était possible. Il a hurlé “Main sur la tête !…Et maintenant vous vous excusez devant vos collègues pour ce que vous avez fait !!!” Alors là, je ne sais pas ce qui m’a pris. J’étais dans un état second. Je pense que je ne me suis même pas rendu compte de ce que je disais. J’ai crié “Salauds !!!!!!!”. Il y a eu un “Oooooh” de stupeur. Le patron m’a reprise par le bras, et forcé à le regarder “Aaaah Mademoiselle n’a encore pas compris la leçon ?… Et bien cette fois on va voir !!!…” Et cette fois il m’a juste courbée sous son bras. Il étais tellement fort qu’il me tenait complètement penchée en avant, avec l’impossibilité complète de me redresser, ni même de me dégager … La fessée a repris. Mais cette fois il m’a fessé avec une force et une rapidité incroyable. L’intensité des claques était telle que nous ne restions pas immobiles. Je sursautais à chaque claque, je me tortillais enfin, aussi bien que je le pouvais, tant j’étais tenue fermement sous son bras, et curieusement, nous tournions petit à petit comme une sorte de valse lente, rythmée par les claques qui résonnaient de manière assourdissante. Aussi le bruit de mes pleurs qui maintenant étaient interminables et déchirants. Ca n’en finissait plus. J’ai dû recevoir au moins 500 claques si ce n’est plus, beaucoup plus. Parfois j’étais de face à mes collègues et je les voyais, complètement hilares. Cette fois ils avaient aussi lâché les vannes du rire. Je les entendais “Haaaa ha ha ha ha !!!…” ” On lui voit tout !!!” “Oh ouiii c’est trop drôle !…” “On voit sa foufoune !!!!!…..” “Haaa ha ha ha ha ha !!!…..” “Tu vois bien ?… Viens par ici ma chérie …” ” Quelle fessée, ah mais quelle fessée mes amies !!!…” “Ouiiii Haaaa ha ha ha ha ha ha !!!…..” ” Oh les gars, j’ai jamais cru que je verrai ça un jour !!!…..” “Quelle honte !!!…” “Je vois tout je vois tout !!! Hiiiii !!!!!… Aaah la la c’est trop beau ” “Haaaa ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha !!!!!!!” Ma collègue pleurait littéralement de rire … Et puis enfin, enfin, il a arrêté la fessée et m’a fait me relever. En fait j’ai commencé par me mettre à sautiller frénétiquement en hurlant hystériquement et en me frottant les fesses. J’avais perdu toute pudeur. C’étais absolument ridicule. Puis je me suis effondrée, à genou puis dans la position escargot, en m’exhibant de façon de plus en plus obscène. Mais le patron m’a fait brusquement me relever. J’avais évidemment abandonné mes louboutins pendant la fessée… Il m’a remise debout, face aux collègues. “Mains sur la tête !!! Et maintenant, excusez-vous!!!!!” Je ne sais pas ce qui a bien pu être compris de ce que j’ai vaguement réussi à articuler, au milieu de mes sanglots. Mais ça a eu l’air de satisfaire le chef. Il m’a redonné deux énormes claques sur les fesses en m’ordonnant de me reculotter. J’ai dû ramasser ma culotte et la remonter devant tout le monde, pendant qu’il regardait l’assemblée avec un air triomphant, et que des applaudissements sans fins ont commencé. J’ai redescendu ma jupe tant bien que mal, j’ai attrapé mes louboutins, et, sans même prendre le temps de les remettre, je me suis enfuie hors de l’open space pour courir me réfugier aux WC, toujours sous les applaudissements et dans un dernier immense éclat de rire. Je n’ai pas osé aller au réfectoire manger avec les gens. Je me suis cachée tant bien que mal. Mais je voyais mes collègues rire, et j’entendais qu’il continuaient de se lancer des quolibets à mon égard. C’était terrible. À un moment je suis soudain retrouvée en face de mon voisin de travail, au contour d’un mur.. il m’a vu, puis a commencé à ricaner … et enfin il a voulu me dire quelque chose, mais je me suis retournée et suis partie en courant pour ne pas l’entendre. Hélas, à la fin de la pause de midi, il a bien fallu que je retourne à mon travail. Je suis entrée a l’extrême fin de la pause, alors que tout le monde était déjà assis à sa place. Je voyais tous les regards goguenards qui me dévisageaient. Je me suis assise en faisant une grimace. Ça brûlait encore terriblement !… Et je respirais encore difficilement, tant j’avais pleuré. J’en avais mal à la poitrine. Mon voisin s’est penché vers moi et m’a chuchoté “Magnifique spectacle, tu nous a offert là !…” Je me suis sentie rougir jusqu’a la racine des cheveux. J’avais beau regarder autour de moi, je ne voyais aucun regard de pitié ou de compassion. Que des regards malicieux et moqueurs. Mais le pire c’est quand ma collègue détestée est venue me trouver, une heure plus tard !… Je ne l’ai pas vue arriver. Tout a coup sa voix m’a fait sursauter. Elle m’a chuchoté à l’oreille “Eh bien, ma chérie, quelle fessée !!!… Moi, à côté, c’était du pipi de minet … et cul nu, en plus…. oh la honte…. comme ça j’ai pu voir tes fesses moi, hi hi hi … tu ne peux pas en dire autant … et j’ai pu voir que tu as un peu de cellulite… c’est bien fait pour toi, et si jamais un jour tu as besoin de te rafraîchir la mémoire, j’ai filmé ta raclée avec mon smartphone…” Puis soudain, sans crier gare, peut-être parce que, anéantie par tant de méchanceté, je ne réagissais pas comme elle l’aurait voulu, elle se met a parler beaucoup plus fort, pour que tout le monde entende “J’espère que ça t’auras appris ta lecon ?… Ah, on peut dire que tu nous a bien fait rire !!! Hiii hi hi hi !!! Pas vrai les autres ?” Je l’ai regardée d’un air méchant. Heureusement, personne n’a osé lui répondre … Elle ajoute, pour bien enfoncer le poignard dans mon coeur “Voilà ce qui arrive aux petites employées écervelées qui font mal leur travail !…” Je la regarde en essayant de la tuer du regard, et je me lève à moitié pour lui faire face. Elle me nargue “Tu en veux encore une ?” Je me préfère faire profil bas et me rassieds. D’ailleurs le boss apparaît et la rappelle sèchement à sa place. En fait, ça a été vraiment dur pour moi pendant environ une semaine. En général je devais juste affronter des regards encore rigolards, voire franchemenrt moqueurs. Parfois on me rappelait de manière pas très fine ce que je leur avais montré si honteusenent. Les collègues féminines étaient d’ailleurs souvent beaucoup plus méchantes et perverses que les hommes. Quoique certains collègues masculins ne se gênaient pas de lancer des blagues extrêmement vulgaire sur moi. Un dessin caricatural a même circulé quelques jours … Au bout de deux semaines, heureusement, ça s’est calmé. Mais je me posais de sérieuses questions sur mon avenir dans cette entreprise. Je ne me sentais plus l’envie de faire carrière dans cette boîte. Je me suis donc mise en recherche active d’un nouveau job. Mais sans succès. À chaque fois ma candidature n’était pas retenue. Et puis, est arrivé un jour où j’ai pu passer toutes les sélections et aller jusqu’en finale. Nous n’étions plus que 2 candidates. Lors du dernier entretien, qui était déterminant, j’ai été reçue par un homme et une femme. Or devinez quoi ? Pendant l’entretien, j’ai cru ressentir comme une sorte de raillerie dans toutes les questions qu’ils me posaient. Leurs questions étaient parfois même très ambiguës. Du style “Si vous faites une erreur, vous préférez une procédure classique d’enquête qui peut mal tourner pour vous, ou une manière plus expéditive, éventuellement désagréable dur le moment, mais en sachant que vous conserverez votre poste ?” Je suis tellement naïve que je n’ai même pas tout de suite compris !… Ils avaient, évidemment, été informés de ce qui m’était arrivé environ trois mois plus tôt… en fait j’ai même fini par avoir la preuve qu’ils avaient reçu la vidéo. Qu’est-ce qui m’a pris d’accepter le poste qu’ils m’ont offert a bras ouvert ?…Mais ça, c’est une nouvelle histoire, que je vous raconterai peut-être plus tard, si vous le désirez !…
[S2. Les espèces animales en voie d'apparition] L'escargot à grande vitesse Le documenteur par Francis Mizio • May 21, 2021[S2. Les espèces animales en voie d'apparition] L'escargot à grande vitesse Après une introduction à l'adresse des écoutrices et des écouteurs, le dossier du mois l'apparition de l'escargot à grande vitesse EGV + entretiens avec le jeune Nils, découvreur d'EGV et Marc Nifiozis, expert en escargots atypiques, sur les conséquences bénéfiques et néfastes de l'apparition de l'EGV. Génériques Degiheugi - One two l’introduction. Album Foreglow / L'ère des effets secondaires - Pierre Barouh / Night over Manaus - Boozoo Bajou. © Le niveau baisse productions. 2748May 21, 2021[ Les espèces animales en voie d'apparition] Les punaises de sièges, chaises, fauteuils, canapés, poufs et tabourets [feat. Thomas Pesquet]Après la brève introduction sur le courrier des auditeurs, le dossier n°3 comment le boom du télétravail a impulsé l'apparition catastrophique des punaises de sièges, chaises, fauteuils, canapés, poufs et tabourets. Avec une interview exclusive de Thomas Pesquet. Génériques L'ère des effets secondaires - Pierre Barouh / Night over Manaus - Boozoo Bajou © Une production Le niveau baisse3059April 23, 2021[ Les espèces animales en voie d'apparition] L'œdicnème criard à bruit blancAprès une courte introduction sur ce podcast et la vie du podcasteur juste pour faire du lien entre humains, découvrez tout sur cette espèce d'oiseau probablement invasive et dangereuse à terme pour l'équilibre géostratégique mondial l'œcdinème à bruit blanc, aussi appelé courlis criard à bruit blanc Burhinus oedicnemus factorem silentium. Prochain dossier en mai Comment le boom du télétravail a fait apparaître les punaises de sièges, chaises, tabourets, fauteuils et canapés et les graves problèmes que cela engendre... Si cela vous plait, faites tourner ! Photo de courlis criard avec l'aimable autorisation de Marc Solari Génériques L'ère des effets secondaires - Pierre Barouh / Night over Manaus - Boozoo Bajou2111April 01, 2021[ - Les espèces en voie d'apparition] La tortue de Torremolinos Nightclubbus tortuga, Espagne. La 2e saison, Les espèces en voie d’apparition », du podcast Le Documenteur est entamée. Premier dossier 33’35’’ la tortue de Torremolinos Nightclubbus tortuga, Espagne. Si cela vous intéresse, si cela vous plaît... Si cela vous faire rire… Outre vous abonner à ce podcast gratuit n’hésitez pas à partager Le Documenteur ou à en faire la promotion. Il se passe que dans quelques temps, il me faudra peut-être reprendre le boulot, et cela me plairait qu’on me commande des bêtises à ma façon — puisqu’il paraît que le podcast explose. Vous pouvez aussi vous pré-abonner à mon projet de lettre bimensuelle pas chère, elle sur le comique écrit et littéraire. Tout est expliqué ici Prochain dossier, dans un mois environ car ce n’est pas tout cela, mais j’ai un gros roman à finir l’Œdicneme criard à bruit blanc Burhinus oedicnemus factorem silentium. 3335March 03, 2021[ Les Espèces Animales en Voie d'Apparition - pitch du concept - génériqueLa saison 2 du Documenteur va se pencher sur les Espèces Animales en Voie d'Apparition Vous n'en croirez peut-être pas vos oreilles. Vous n'en croirez peut-être même, pas un mot. Voire sans doute en rirez-vous... Pourtant, ici, elles arrivent ou elles sont déjà là. Toutes proches de vous. Présentes, discrètes. Inoffensives ou dangereuses, elles se sont adaptées et continuent d'évoluer... car la nature ne lâchera rien. Vous, qui êtes bientôt en voie de disparition, aurez été prévenus. 1er épisode à venir Les tortues de Torremolinos - Nighclubbus tortuga. 0236March 02, 2021[14/14 Métiers inconnus] Occupeurs de vos oignons [Roscoff, 1924]Dernier épisode de la première saison du Documenteur consacrée aux métiers inconnus avec celui "d'occupeur de vos oignons". En 1924, on proposa aux Johnnies, ces agriculteurs de Roscoff qui allaient vendre en colportage leurs oignons rosés en Grande-Bretagne pendant huit mois de l'année, de leur attribuer des "occupeurs de leurs oignons", personnes chargées de surveiller leur exploitation en France... et plus discrètement, leurs épouses... Mais celles-ci, Bretonnes au caractère trempé, se sont tôt rebellées... Extraits de musiques créées ou la première fois enregistrées en 1924 Rapsody in blue, et Fascinating rythms Les Astaire - par les Gerschwin. Clara Smith - My Doggone Lazy Man Gertrude "Ma" Rainey - See See Rider Blues Marion Harris - Tea For Two Daddy Stovepipe - Sundown Blues Billie Holiday - The man I love Jimmy Blythe Chicago Stomp par Eeco Rijken Rapp Chant de l’oignon - 14, 2021[Métiers inconnus 13/14] Sacheuses de planter les choux Fougeré - Vendée, 1931En 1931, lorsque l'Abbé Bacle inventa la machine à planter les choux, les "Sacheuses de planter les choux", chorale qui allait dans les villages enseigner en chantant aux paysans la bonne méthode vendéenne du plantage de choux avec les mains, le pied, le coude ou le nez se rebellèrent contre l'irruption des machines, à la façon des Canuts de Lyon contre les métiers à tisser, responsables de chômage et accélérateur de la disparition des savoir-faire et traditions. Un épisode des révoltes ouvrières curieusement méconnu... Extraits de musiques H. Salvador, Oliver, Mister V, Chorale des enfants de Paris, J-Y Plat. Son extrait d'un tutoriel 08, 2021[Métiers inconnus ép. 12/14] Releveur de cairn Finistère - Bretagne - 1843L’histoire tragique de Yanig Migouët, devenu releveur de cairn » qui voulut restaurer seul tous les mégalithes de Bretagne au profit de la Commission nationale des monuments historiques en 1843, en commençant par le cairn de Kernelehen, près de Barnenez en Bretagne. Extraits musiques et chansons Tri Yann - Youenn Gwernig - Denez Prigent - Véronique Autret Illustration Anne le Van Ra1504February 01, 2021Métier inconnu "Diseur de pluie" Normandie, 1965En 1965, la Direction Nationale de la météorologie désespérée de ne pas être prise au sérieux crée expérimentalement l’ancêtre des numéros verts en Normandie avec des fonctionnaires diseurs de pluie » chargés de faire correspondre les prévisions, les dictons et le temps du jour. • Bonus les prévisions d’Albert Simon pour cet été, formulées en 1978 et toujours 25, 2021Ermite ornemental La Baule - Nantes ; 1925 - 1928De 1925 à 1928 une étrange mode s'est répandue chez les riches propriétaires de villas de la Baule, puis de Nantes posséder un ermite ornemental dans son jardin, dans son parc... Musiques et chansons des années 1925 à 1928 et extrait de "The Jazz Singer"., d'Alan Crosland 19271410January 18, 2021Faiseur de bruit Landerneau - 1785À l'occasion de la nouvelle année et des vœux traditionnels, voici l'histoire du "Faiseur de bruit" de Landerneau qui, en 1785, à cause de la chanson "Au gui l'an neuf", épuisa une grande partie de la Bretagne...1422January 11, 2021Tueur d'âne à coups de bonnet Vendée - 1961La carrière avortée de tueur d’ânes à coups de bonnet » de Jean Martineau, ex-employé d’équarrissage voulant devenir artiste de foire, n’aurait été due qu’à une confusion entre une expression du sud de la France et une autre 05, 2021Noueuse de coins de mouchoir 1903 - CholetLa rivalité entre deux fabricants de mouchoirs à Cholet en 1903 a vu l'apparition du métier de "noueuse de coins de mouchoir" lors d'une innovation anticipant étonnamment nombre de produits contemporains à l'hyper-spécialisation disruptive. Musiques 1903 Scott Joplin "Easy winners", Théodore Botrel "Le mouchoir rouge de Cholet", Alibert "Dans la vie, faut pas s'en faire". Reprise Jack Lantier "Le mouchoir rouge de Cholet"1226December 29, 2020Metteur à la jaille sélectif Nantes - 1885Le tri sélectif n'est pas une invention récente il a été en quelque sorte inventé, en urgence, en 1885 à St-Mars-La-Jaille 44 avec des emplois de "Metteurs à la jaille sélectifs" à la suite de la création de la première ligne ferroviaire de la Compagnie de l'Ouest... et d'une erreur de la presse . - Musique Emmanuel Chabrier - La Joyeuse Marche 1888.0954December 22, 2020Rameneurs et sucreurs de fraises - Plougastel Daoulas Années 1961/62 - Finistère - Bretagne - France L'ubérisation, les métiers de micro-tâches, les livreurs à vélo... contrairement à ce que vous pensiez, ce n'est pas récent. À Plougastel Daoulas Finistère un couple d'américains les inventa au travers des métiers de rameneurs et de sucreurs de fraises, dans les années 1961 et 1962 — soit 1 siècle après l'introduction de la fraise chilienne en Bretagne, et 10 ans avant le succès de la "gariguette" de l'INRA ... Avant, hélas, d'échouer pour une stupide raison linguistique liée à leur méconnaissance du Breton.... 1737December 16, 2020Lanceuse de mogettes - Vendée, Charente-Maritime Mieux vaut un pet qui résonne ; que sournoisement empoisonne ! » ce proverbe vendéen, indiscutablement lié aux effets de la mogette, ce haricot blanc et sec local, traduit son importance dans la culture dite des ventres-à-choux ». Mais saviez-vous qu'il y a deux siècles l'étonnant emploi de lanceuse de mogettes » fut l'attraction, et sans doute le précurseur du marketing événementiel » ? Photo Charlotte Ragot, modèle pour "La Semeuse" d'Oscar Roty1035December 09, 2020Éradiqueur de mouettes - Penmarc'h FinistèreLes espèces animales invasives ne sont pas nouvelles dans l'Ouest de la France. La terrible invasion de mouettes américaines à Penmarc'h Finistère dans les années 1895 – 1900 contraignit les autorités à temporairement créer un corps de métier inattendu, qui chahuta la quiétude sociale et politique de la région celui d'éradiqueur de mouettes » .1133December 01, 2020Ajouteur de grain de sel - GuérandePuisque l’été aura été sans doute exceptionnel pour les paludiers de Guérande, c’est l’occasion de revenir sur un métier oublié, aussi unique qu’il fut tragique celui d’ajouteur de grain de sel, office exercé par Yvonou Guennéguan 907 – 949 dans la région des salines de Guérande pendant leur 18, 2020
chanson l escargot s en allait a la foire